
Réunis lundi à Charm el-Cheikh, les dirigeants des États-Unis, d’Égypte, du Qatar et de Turquie ont signé un accord de cessez-le-feu visant à mettre un terme à l’escalade de la violence dans la bande de Gaza. Cet accord, salué par la communauté internationale, marque une étape cruciale dans les efforts de médiation menés depuis plusieurs semaines.
Le texte, paraphé en présence de Donald Trump, Abdel Fattah al-Sissi, Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani et Recep Tayyip Erdogan, prévoit l’arrêt immédiat des hostilités, la mise en place de couloirs humanitaires sécurisés, ainsi qu’un mécanisme de supervision internationale pour garantir le respect du cessez-le-feu.
Selon les signataires, l’objectif est de « rétablir la stabilité régionale et d’ouvrir la voie à un processus politique durable ». Le rôle clé joué par Le Caire et Doha a été largement salué, confirmant leur position de médiateurs incontournables dans les négociations régionales.
Au-delà du cessez-le-feu, cet accord symbolise un retour du dialogue multilatéral dans une région marquée par les divisions et la méfiance. S’il ne règle pas toutes les causes du conflit, il relance néanmoins l’espoir d’une trêve durable et d’un nouvel équilibre diplomatique au Proche-Orient.





























