IT – La Fédération des Technologies de l’Information des Télécommunication et de l’Offshoring (APEBI), a organisé, le 4 décembre 2019, une cérémonie officielle pour la restitution de son ‘’Recommendation Paper’’ réalisé sous le thème « Le Digital au cœur du Modèle de Développement du Maroc ». Cette cérémonie a également été marquée, par l’adhésion du Maroc à l’alliance SMART AFRICA.
La cérémonie de restitution du ‘’Recommendation Paper’’ de l’APEBI s’est déroulée en présence de Moulay Hafid Elalamy, Ministre de l’Industrie, de l’Investissement, du Commerce et de l’Economie Verte et Numérique, de Saloua KarkriBelkeziz, Présidente de l’APEBI, de Lacina Koné, CEO SMART AFRICA et de nombreux autres dirigeants de sociétés, spécialisées dans le digital.
Au cours de cette cérémonie de restitution, cinq grandes thématiques ont été abordées: E-Gov et politiques publiques digitales locales, Gouvernance et réglementation du secteur, Infrastructures et connectivité, Big Data et souveraineté digitale, R&D, innovation et startups.
L’objectif prioritaire de cette rencontre était de présenter les principales conclusions du Recommendation Paper (RP) et de discuter et d’échanger sur les voies et les leviers de mise en œuvre de ces différentes recommandations.
Cliquer ICI pour télécharger le « Recommendation paper de l’APEBI ».
La cérémonie organisée par la fédération marquait également son adhésion à SMART AFRICA. Pour rappel, l’alliance SMART AFRICA encourage les partenariats, l’esprit d’entreprise, la création d’emplois, le partage de connaissances… pour une évolution économique des Technologies d’Informations et de Communications (TIC) en Afrique.
Le SMART AFRICA a en effet pour objectif de hausser la compétitivité de l’Afrique à travers les Nouvelles Technologies de l’Information dans l’économie du savoir et dans l’économie mondiale. Ce qui cadre aujourd’hui, avec certains objectifs de l’APEBI. Ainsi donc, au cours de cette cérémonie, la fédération a officiellement adhéré à cette alliance africaine, afin d’accroître son implication et d’accélérer sa participation au développement socio-économique africain.