Auparavant les scientifiques imprimaient des structures à deux dimensions sur de grandes surfaces et des supports flexibles en utilisant des encres spéciales contenant des matériaux semi-conducteurs en solution ou en dispersion.
Mais obtenir des films minces quasi monocristallins est difficile par les procédés habituels d’impression car les matériaux déposés ont une forte tendance à s’organiser par eux-mêmes de façon polycristalline.
Aujourd’hui les chercheurs Tokyoïtes remplacent l’encre de cartouche par un mélange à base de nanoparticules d’argent,qu’on peut actionner séquentiellement et ils ont pu obtenir la cristallisation par antisolvant du semi-conducteur organique C8-BBT.
Les gouttelettes ont un volume de 60 picolitres (1 picolitre = 10-12 litre, soit un millionième de millionième de litre) et sont émises à une fréquence de 500 Hz.
Ce procédé permet de réduire le coût et le délai de fabrication de façon drastique.
H.R
J’espère que ce produit verra le jour !