Le taux de croissance projeté à la fin de l’exercice ne dépasserait guère dans ces conditions 2,6 %, enregistrant ainsi un repli de plus de 2 points par rapport à l’exercice précédent.
La perspective de ralentissement de l’activité ne manquera pas d’influer sur la demande intérieure, les revenus et les niveaux de vie.
Il en est de même de la situation de l’emploi qui devrait connaitre une sensible détérioration avec une hausse prévisible du taux de chômage de plus d’un point et demi par rapport à l’exercice précédent.