A l’ère de la quatrième révolution industrielle, où la digitalisation et l’efficacité opérationnelle sont devenues des enjeux majeurs, Infinite Foundry s’impose comme un acteur incontournable.
Fondée en 2017 et basée au Portugal, avec une implantation au Brésil, cette entreprise technologique spécialisée dans les solutions de simulation et d’optimisation des processus industriels redéfinit les standards du secteur grâce à ses jumeaux numériques (Digital Twin), ses simulateurs virtuels et ses systèmes de mesures automatisées.
Une technologie qui repousse les limites de l’efficacité
Le cœur de l’offre d’Infinite Foundry repose sur une technologie innovante capable de reproduire en temps réel et en 3D l’intégralité des opérations industrielles, qu’elles soient automatiques, manuelles ou logistiques. Cette solution permet aux entreprises de suivre et de tracer chaque étape de leurs processus en temps réel, d’identifier les écarts et de les corriger avant qu’ils ne génèrent des défauts.
«Notre système anticipe les problèmes avant qu’ils ne surviennent, garantissant ainsi une fabrication sans défaut et une optimisation continue des opérations», souligne André Luz, directeur général d’Infinite Foundry. Cette approche proactive offre aux industriels une visibilité totale sur leurs chaînes de production, leur permettant de réduire significativement leurs coûts, d’améliorer leur productivité et de renforcer leur prise de décision.
En simulant les processus dans un environnement virtuel, Infinite Foundry permet aux entreprises d’anticiper les dysfonctionnements et d’optimiser leurs opérations en amont, évitant ainsi les pertes de temps et de ressources.
Des résultats tangibles pour des industries variées
Infinite Foundry ne se contente pas de fournir des outils technologiques ; elle accompagne ses clients dans leur transformation digitale. Parmi ses partenaires figurent des géants industriels comme Renault et Coffee Cub, avec lesquels l’entreprise collabore notamment au Maroc. Ses interventions couvrent à la fois la gestion des opérations et la formation en réalité virtuelle des travailleurs.
«Nous formons les employés dans un environnement virtuel pour qu’ils acquièrent rapidement les compétences nécessaires avant de passer à la production réelle. Cela réduit les erreurs et améliore la qualité des produits», explique André Luz. Cette méthode de formation immersive est particulièrement adaptée aux secteurs où la précision et la sécurité sont critiques, tels que l’aéronautique, l’automobile (légère et lourde), la sidérurgie, les mines, les services et même les produits pharmaceutiques.
Infinite Foundry a adopté un modèle économique flexible, basé sur des projets à paiement unique et des contrats à long terme, incluant des services de maintenance et de support. Ses revenus proviennent principalement de trois sources : les projets d’innovation, les licences de logiciels et les services d’appui et de maintenance.
Une expansion stratégique au Maroc et à l’international
Le Maroc occupe une place centrale dans la stratégie d’expansion d’Infinite Foundry. L’entreprise y travaille déjà avec des acteurs majeurs de l’industrie, et son ambition est de renforcer sa présence sur ce marché prometteur. «Nous sommes très intéressés par le marché marocain et souhaitons collaborer avec les directeurs généraux, les directeurs de production, les directeurs de la qualité et les directeurs de la maintenance pour les aider à rationaliser leurs opérations», déclare André Luz.
L’objectif est clair : accompagner les industries marocaines dans leur quête d’efficacité et de compétitivité à l’échelle mondiale. Mais l’ambition d’Infinite Foundry ne se limite pas au Maroc. L’entreprise vise à étendre son influence à l’international, en s’appuyant sur sa technologie de pointe et son expertise en matière de transformation digitale. Avec une base client en pleine expansion et un portefeuille de solutions toujours plus innovant, Infinite Foundry est bien positionnée pour devenir un leader mondial dans le domaine des jumeaux numériques et de la simulation industrielle.
