L’alourdissement du coût du travail engendré par la hausse du SMIG va forcément grever la compétitivité de secteurs fondamentaux de l’économie marocaine, avec le risque d’une nouvelle aggravation du taux de chômage.
La Confédération estime nécessaire la mise en place de mesures compensatoires portant notamment sur un allègement des charges patronales, en vue de sauvegarder la compétitivité du tissu industriel national et de répondre à la forte demande d’emploi.
La CGEM exprime également ses craintes de voir des entreprises basculer dans l’informel.