A l’origine de cette déclaration Mohamed Louafa, ministre délégué auprès du Chef du gouvernement, chargé des Affaires générales et de la gouvernance, qui s’exprimait, mardi 28 janvier 2014, lors de l’émission-débat «Kadaya Wa Arae» diffusée sur la première chaîne Al Aoula.
Et d’ajouter que seulement 13 entreprises entre privées et publiques s’accaparent près de 70% de ces dotations.
Une déclaration qui informe sur le mode de carburation du parc automobile de l’Etat.
Autrement dit, il y a plus d’immatriculations de voitures «M rouge» roulant à l’essence qu’au diesel.
Pour parer aux dysfonctionnements, semble-t-il, qui entachent ce méga chantier, le gouvernement a décidé que les prix de l’essence super et du fuel oil n°2 ne font plus partie des produits subventionnés par la caisse de compensation.
Ces prix sont révisés le 1er et le 16 de chaque mois.
Une mesure qui permet aux finances publiques d’économiser plus d’un milliard de dirhams, selon Louafa.
