En partenariat avec l’Africa Data Centers Association (ADCA), Oxford Business Group (OBG) vient de consacrer un focus report sur les opportunités du numérique sur le continent africain.
Intitulée « Data Centers in Africa – Focus Report », cette nouvelle publication du cabinet d’intelligence économique et de conseil, explore le besoin urgent de déployer davantage d’installations offrant ces services dans un contexte de demande croissante des acteurs de l’industrie opérant dans l’économie de plus en plus numérisée en Afrique et d’importants déficits de capacité.
Cette étude analyse les atouts de l’Afrique, notamment sa population jeune, en croissance rapide et connectée à Internet et met également en évidence les opportunités pour les investisseurs d’aider à établir un écosystème des TIC qui sera essentiel pour conduire la transformation économique du continent à l’ère post-pandémique.
Selon le rapport « puisque la plupart des Africains accèdent à Internet via des appareils mobiles, le continent pourrait bien être en mesure de contourner certaines des étapes traditionnelles du développement industriel dans son adoption des nouvelles technologies. » Ainsi, « les abonnés trouveront également une couverture approfondie des avantages que la mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine devrait apporter en réduisant la bureaucratie pour les investisseurs qui envisagent des opportunités intra-régionales dans les TIC » souligne la publication.
Ce focus report recense également, les points clés qui suscitent déjà l’intérêt des opérateurs de centres de données (DC), notant le rôle qu’ils devraient jouer dans l’expansion du marché et en aidant les économies cibles à combler l’écart avec l’Afrique du Sud, le leader continental.
Il met aussi en lumière plusieurs marchés individuels, tout en suivant les mesures prises par un certain nombre de gouvernements africains pour élaborer des programmes politiques axés sur le numérique dans des mesures qui devraient pousser la croissance et créer des emplois.
Pour toute personne désireuse d’en savoir plus, le rapport peut être consulté sur le site de Oxford Business Group.