Selon un article publié le 10 octobre par Le Matin, le groupe indien Samta s’apprête à lancer la construction de son usine de recyclage de métaux dans la zone franche Atlantique à Kénitra. Ce projet, estimé à 70 millions de dollars et soutenu par un potentiel prêt de 20 millions de dollars de la BERD, se concentrera sur le recyclage de déchets de cuivre et d’aluminium pour les secteurs automobile et aéronautique. L’usine devrait créer 200 emplois et renforcer l’économie circulaire au Maroc.
Résultant d’un accord de partenariat signé avec le ministère de l’Industrie marocain en septembre 2022, ce projet ne se contente pas d’injecter des capitaux importants dans l’économie marocaine, mais est également porteur de création d’emplois significatifs.
Un impact positif sur l’économie circulaire et l’emploi au Maroc
Ce projet s’inscrit parfaitement dans la stratégie du Maroc visant à promouvoir l’économie circulaire et le développement durable. En valorisant les déchets métalliques pour produire de nouveaux matériaux, l’usine contribuera à réduire l’impact environnemental tout en répondant à la demande croissante en métaux recyclés.
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En outre, l’usine de recyclage des métaux du groupe Samta est appelée à jouer un rôle majeur dans la création d’emplois dans la région de Kénitra et au-delà. Les postes créés couvriront une gamme variée de compétences, allant des emplois techniques spécialisés aux fonctions administratives et logistiques, stimulant ainsi l’économie locale et améliorant les perspectives d’emploi pour les habitants.
Le Maroc, une destination de choix pour les investisseurs internationaux
Le lancement de cette usine par le groupe Samta renforce la position du Maroc comme une plateforme industrielle compétitive en Afrique du Nord. Le Royaume offre aux investisseurs étrangers un environnement stable, des incitations fiscales attractives et un accès privilégié aux marchés européens et africains grâce à ses accords commerciaux.
Rachid Mahmoudi
