MHE FIEI 2O021
Le ministre Moulay Hafid Elalamy lors de son propos d'ouverture

Bien qu’affectés par un ralentissement des échanges ces dernières années, les indicateurs du secteur industriel marocain sont aujourd’hui plus qu’encourageant, ils donnent la frimousse.
Par une série d’articles et de reportages, Industrie du Maroc Magazine (IDM) a mis en lumière les initiatives menées par le ministère de l’industrie. Le prochain Forum sur la « Décarbonisation » du 27 juillet entre dans ce cadre.
Dans le nouveau modèle de développement, l’industrie est présentée comme l’un des facteurs les plus importants dans la création de valeur et d’emplois au Maroc.
Pourtant, son essor est propulsé avec l’avènement de Moulay Hafid Elalamy comme Ministre de l’Industrie du Commerce et de l’Economie Verte et Numérique. Aujourd’hui, la vision royale à l’impact, le Tycoon connu dans la précision et le sens des affaires, redonne à l’industrie tout son lustre tel que décliné par SM le Roi Mohammed VI dans plusieurs de ses discours.
Au plus profond de la crise sanitaire, où la guerre des masques faciaux faisait rage, MHE a réussi le pari de transformer l’industrie, qui au delà de fournir le marché local, a réussi la prouesse de faire du Maroc un pays exportateur de masques. Un challenge réussi.
De mutation en mutation, le secteur industriel marocain renforce davantage sa vitalité et impose un accord de libre échange avec ses partenaires.
Cette politique géo-économique n’a pas empêché d’engranger des résultats. Ainsi, le PAI qui a généré dans la période 2014 -2020 près de 665000 emplois inscrits à la CNSS, et boosté la contribution de l’industrie au PIB; passant de 14% en 2014 à plus de 25% en 2020.
Aujourd’hui le Maroc est incontournable dans la chaîne de valeur mondiale de l’industrie de pointe à savoir l’aéronautique avec 38% de taux d’intégration et certaines parties des moteurs d’avion fabriquées localement, et l’automobile qui avec un taux d’intégration supérieure (60%) est même devenue 1er pourvoyeur en devises du Royaume, supplantant les phosphates.
Pour ce qui est de l’avenir, les perspectives très réalistes que donne le ministère à travers la politique de substitution qui devrait créer une valeur ajoutée d’au moins 51 MMDH dès 2023 (réduction de 34 MM DH d’importation et recettes de 17 MM DH à l’export) donnent à croire en un Maroc totalement industriel d’ici peu. Ajouté à cela la décarbonisation inéluctable de notre industrie, il va sans dire que plus rien ne s’opposera à la vision royale d’un Maroc qui tient valablement sa place dans le concert des nations industrielles.

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