Sous l’impulsion de Sa Majesté, le Roi Mohammed VI, le Maroc poursuit avec succès son ambition de développement durable et d’industrie à bas-carbone. Désormais le Royaume entend marquer de son empreinte la souveraineté énergétique en matière d’économie Verte et se positionner comme un modèle de référence sur la scène internationale, c’est ce qui ressort de l’intervention de la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali en marge de sa participation au sommet sur le climat COP26.
Présente à Glasgow en Ecosse, pour la 26ème conférence sur les changements climatiques (COP 26), Leila Benali, ministre de la Transition énergétique et du Développement durable a indiqué que le Maroc ambitionne de se positionner comme une base industrielle sobre en carbone et circulaire.
« Il s’agit d’une stratégie qui ambitionne d’assurer une transition vers une économie verte d’ici 2030 à travers une myriade de réformes politiques, institutionnelles, règlementaires et financières… J’aime penser que nous arriverons à faire cela en impulsant un choc de compétitivité dans certains secteurs stratégiques, (…) mais également en réduisant le coût de la facture énergétique marocaine pour les ménages, les industriels, les services et tout le tissu économique marocain » a expliqué la ministre en précisant que la priorité, sur les dix prochaines années, est axée sur la simplification du cadre réglementaire et institutionnel, tout en donnant l’impulsion nécessaire aux financements dans des secteurs clés comme le développement des énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, la gestion durable des déchets et la résilience face aux impacts des changements climatiques.
Ces deux dernières décennies, sous l’impulsion de S.M. le Roi Mohammed VI, le Maroc a adopté une approche volontariste tournée vers une économie verte et inclusive. Cet engagement s’est traduit par l’adoption de la Stratégie nationale de développement durable (SNDD), cadre fédérateur pour l’intégration de la durabilité dans toutes les politiques sectorielles en juin 2017, qui offre l’opportunité pour le Maroc de consolider sa position avant-gardiste sur la question du changement climatique et du développement durable.